Beaucoup de mes textes ont une dimension politique : Par où Or (ne) ment, bien-sûr, mais aussi plusieurs poèmes dans Tous les râteliers !, métaphore de la prédation, de mes chroniques, etc.
Il ne s’agit évidemment pas de politique partisane, mais de questions à la culture collective, d’interrogations éthiques. La perplexité en demeure l’orientation générale. Les textes poétiques ne sont jamais programmatiques, ce que j’explique notamment dans Par où Or (ne) ment. La responsabilité de l’écrivain, me semble-t-il, se situe en amont : interroger les systèmes de valeurs, les représentations du monde.
Dans plusieurs poèmes de Nouvel An, ou dans des ouvrages collectifs où j’interviens en général sous le pseudonyme d’Antoine Berce, je franchis le pas de la satire, de l’expression d’indignation ou de l’argumentation.
Sur Forum protestant, j’ai effectué plusieurs interventions sur le climat, l’écologie, la convention citoyenne ou encore le service public.
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