Un poème que je trimbale avec moi depuis le début des années 90 sans vraiment parvenir à l’achever, qui a connu déjà deux publications, sans être parvenu à ce jour à sa forme définitive.
Venu de mon émotion, de mon indignation, dès la fin des années 80, devant certains discours technophiles sur le développement des infrastructures numériques.
Publié une première fois par Yankel Karro dans un poézine des employés de la Bibliothèque Nationale, repris sous une autre forme dans Appel d’air 1 et longtemps retravaillé, jusqu’à la forme publiée ici… et jusqu’à ce que j’éprouve le besoin de le faire évoluer encore.