Voilà des années que je travaille sur la relation au corps et à la maladie. On en trouve déjà des exemples dans De nos coques les claire-voies et dans oeil ventriloque. Le poème ci-dessous a été lu lors du printemps des poètes 2020, juste avant le premier confinement de la Covid – mais sans que j’aie le pressentiment de celui-ci.
J’ai le projet de rassembler un jour ces éléments épars, qui, avec Grotte Verlaine et d’autres textes en cours, , pourraient former une manière de Trilogie somatique